Jazz ASC/SA : Il est temps de se faire RESPECTER!

Jazz ASC/SA : Il est temps de se faire RESPECTER!

novembre 4, 2016 à 09:04

Les 27 et 28 octobre, les dirigeant(e)s de la section locale 2002 de Jazz Aviation se sont réunis à Toronto pour établir des stratégies en vue de la prochaine ronde de négociation. La convention collective de près de 1 000 membres des services à la clientèle et aux avions de 42 bases au pays vient à échéance le 13 janvier 2017.
 
Jenny Ahn, adjointe au secrétaire-trésorier national d’Unifor, Cheryl Robinson, présidente de la section locale 2002 d’Unifor, Josée Genois, adjointe à la présidente, Cheryl Robinson et Sandra Cormier, vice-présidentes régionales, et Delia Gaskill, coordonnatrice aux communications, étaient sur place pour soutenir le groupe et répondre aux questions.
 
« Je suis ravie de voir un groupe de représentants aussi dévoués et enthousiastes, a déclaré Cheryl Robinson, présidente, au moment d’accueillir le groupe. Notre solidarité envoie un message clair à la compagnie : il est temps de respecter notre convention collective et il est temps de faire des progrès pour la prochaine convention! »
 
Le comité de négociation a tenu des discussions sur la mobilisation de nos membres en vue des prochaines négociations contractuelles. Le taux élevé de répondants ayant rempli et envoyé les sondages indique que les membres sont gonflés à bloc pour faire des gains dans cette ronde de négociation. La présidente du comité, Denise Cochrane, a présenté une ventilation complète des résultats des sondages, y compris sur la sécurité d’emploi, les salaires, les vacances, les régimes de retraite et d’avantages sociaux, les primes de loyauté, les dispositions relatives à la formation, les échanges de quart, les primes de quart, les dispositions relatives au temps partiel et les uniformes.
 
Paul Keighley, représentant national d’Unifor, a divisé le groupe en plus petits sous-groupes pour que les gens puissent partager et réfléchir à leur expérience de travail à partir de leur base personnelle. L’atelier interactif a permis aux dirigeants d’identifier leur rôle à venir et les attentes des membres quant à la prochaine ronde de négociations.
 
« Lorsqu’il s’agit de négocier une solide convention collective, tout le monde, qu’il s’agit des comités, de nos districts, des vice-présidents, des intervenantes auprès des femmes, des représentants en santé et sécurité jusqu'à nos membres de la base, jouent un rôle déterminant dans les négociations », a déclaré Josée Genois. « Nos membres font confiance à notre capacité de négocier et nous sommes à la hauteur de la tâche. »
 
Les assemblées consultatives sont en cours et nos membres ont clairement signalé qu’ils sont mobilisés et souhaitent participer au processus. Les prochaines visites aux bases sont les suivantes et d’autres assemblées seront annoncées dès leur confirmation.
 
DATE VILLE
8 novembre Kingston
8 novembre Calgary
21 novembre Sudbury
22 novembre North Bay
 
Les communications sont toujours une priorité absolue. Pendant les négociations, le comité doit établir un équilibre entre ce qu'il peut dire ouvertement et de façon transparente et protéger l'intégrité des négociations.
 
 « En tant que comité, notre objectif est de maintenir nos membres unis, mobilisés et informés, a affirmé Denise Cochrane. Si le temps le permet, nous planifions de poursuivre nos visites des lieux de travail au courant de l’année prochaine. Nous allons aussi émettre des bulletins tous les mois avant le début des négociations, ensuite sur une base hebdomadaire lorsqu'elles auront commencé. »
 
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Les participants ont quitté la réunion préparatoire aux négociations fins prêts à entamer les négociations. Mais, la présidente a réitéré le message communiqué par le comité pendant les assemblées consultatives : les négociations ne commenceront pas avant que plusieurs griefs en suspens, dont ceux portant sur les violations relatives au travail dévolu à notre champ de compétence, aient été réglés.
 
« Nos membres chez Jazz en font toujours plus pour que l’employeur et parfois la compagnie en tire avantage, a affirmé Cheryl Robinson. Pour réaliser un réel progrès, nous devons nous appuyer sur une base solide, ce qui commence par recevoir du respect de la part de cet employeur. »